Votre nom

Ah nos noms. Un mot pour nous désigner que nos parents ont choisi à notre naissance... et parfois même avant !

Pour certain, c'est beau, nécessaire, voir même essentiel alors que pour d'autres, ce n'est qu'une étiquette qu'ils devront trainer toute leur vie.

Dans certaine tradition et culture, on peut changer de nom à tout les stades importants de la vie ! Ainsi, notre «identité» nous correspond tout le temps.

Vous, sans nécessairement le révéler, aimez-vous votre nom ? Vous correspond-t-il ou vos parents ont-ils eu tout faux ?
Connaissez-vous sa signification profonde ? D'où vient-il ? De quelle culture est-il issu ? Le changeriez-vous ? Si oui, pour quel autre nom ?

Hé bien pour tout dire je n'aime pas du tout mon nom... Je le haïe... Je trouve qu'il ne me vas pas du tout... En même je sais pas quelque autre nom auxquel mes parents aurai pu penser me donner m'aurais été... Mais quand tu parle de nom tu parle de nom de famille ou prénom ?? Remarque l'un comme l'autre je n'aime pas les deux....

Mon prénom : Cécile

Signification : Caecus qui veut dire Aveugle... Ca vient du latin... Moi aveugle... Ouaif être aveugle est une grande sagesse alors bon !! Ca vient donc de la culture latine.

Mes parents on eu tout faux... Ils voulaient, comme tout parent je pense, une fille qui leur ressemblait... Malheuresement je suis tout l'inverse d'eux... D'où les éternelles conflits avec eux...

Si tu parlais de nom de famille, et bien je ne sais pas ce que signifie le mien... Enfin dans mon coin de la france ça veut dire quelque chose... Mais je n'ai pas envie de dévoiler mon nom de famille... Trop moche... Et pourquoi je le supporte pas... Parce que, pour moi, je suis complétement étrangère à cette famille... Je connais mieux la famille de mon copains que ma propre famille... Comme un petit problème...

Si je devais changer tout ça je m'appellerai... Malna Arthésia !!! Je préfére de loin ça !! Je trouve que ça me correspond mieux...

Et bien moi mon prénom fait un peu partie de l'histoire de ma famille, c'est pour ça que je l'aime. Je m'appelle Tatiana, un prénom d'origine russe en homage en quelque sorte à ma grand mère, Ludmilla, qui est arrivée en France à la révolution russe; son père, aide de camp du tsar, s'était fait fusiller, et elle, qui vivait au palais impérial a du fuir ... Une des filles du tsar s'appelait Tatiana, ma grand mère les a connues ...
On a pas oublié ça dans la famille et c'est pour ça que moi même et deux de mes soeurs, avons un prénom russe ( ma soeur ainée elle a un prénom celtique). Je ne le changerais pas si je le pouvais ...

Il est certain que lorsque son prénom porte l'histoire de la famille et que l'on tient à ça famille, on ne veuille pas en changer !!

Moi ça porte rien... Enfin toute les Cécile de ma famille (2) sont des bonnes soeurs... Ba je suis pas du tout ça moi ^__^ Enfin voilà...

Une rose aura beau s'appeler "fumier" que sa ne sera pas moins beau ni sentir moins bon (Je parle ici pour ceux qui aime regarder et sentir une rose).

J'ai 22 ans et j'ai le prénom le plus répendu de ma génération au Québec: Mathieu.

Dans la vie, tout le monde m'appelle Buddy: ma copine, mes amis, mes freres (J'en ai 3 ) et meme mes parents. Qu'on m'appelle Buddy ou Mathieu, je me reconais. Seulement, Mathieu, c'est pour les trucs officiel, la paprasse.

Mathieu est tirer de l'Hébreux et sigtnifie: Dont de dieu.

Mais selon moi, un nom ne représente pas ce que l'on est vraiment. Avoir un nom qui nous représente, sa serais comme faire lire notre journal intime a tout le monde.

C'est pour cela que pour moi un surnom que l'on a choisi nous même, et pas ceux que nous donne nos camarades de classe, nous représente plus en quelque sorte !!!

Moi j'aimerai bien que tout le monde m'appelle Malna :roll: Mais bon...

En fait, je pense le contraire. Il faut que le surnom vien des autres pour qu'il soit bien choisi, sinon il es biaisé. Pourquoi tant gens se trouve gros, laid ou peu importe? parce qu'on voie tout nos défaut en meme temps. Notre vision de nous meme n'es pas super bonne, ou trop bonne pour certain.

Au départ je n'aimais pas mon prénom. Mais quand j'ai su quel aurait été l'autre choix je me suis dit que "Frédéric" c'était pas si mal...
Et puis l'etymologie de ce prénom est assez cool : D'origine germanique, de "frido" (paix) et "rik" (roi)...
Donc au final, ça me plait bien

Sûre que beaucoup de personne on un mauvais regard sur eux... Moi la première :roll: Mais bon avec le temps ça tend à s'améliorer... Mais niveau de mon prènom je ne changerai pas 'avie lol Même en connaissant les autres choix :
Marie-Charlotte, Charlotte...

Bon bref lol Comme on m'appelle pas souvent par mon prénom mais plutôt par mon diminutif "Cesse" ça passe encore !

J'aurais aimé que mes parents aient la culture ou la connaissance pour choisir un nom plus original ou joli...

Mon prénom(Jimmy) est d'origine Irlandaise alors que je n'ai aucune origine Irlandaise... lol !

C'est le dérivé du nom hébraïque du frère de St-Jean(Jakob, St-Jacques) qui signifie : "Dieu a soutenu, protégé".

Je n'aime pas ce nom qui n'est ni de ma culture, ni de mes origines, ni de mes croyances, mais je vie avec...

Pour mon nom de famille, je ne le dirai pas, mais il est très répendu et je connais très bien son histoire(j'ai étudier ma généalogie).

Il viens d'un cri de guerre propre à un groupe de soldats croisés français lors des croisades. Lorsque ces soldats sont revenus, ils ont obtenus une terre portant un nom dérivé de ce cri de guerre en 1167. C'est alors devenu le nom de famille de ces vétérans, de leurs descendants ainsi que de tout les habitants de cette terre. Ces descendants ont construit des forges et sont devenus des bourgeois. Ils ont acheté la noblesse et eurent de nombreux troubles par la suite(la révolution française). L'un des ecuyers les plus ambitieux de la famille tenta alors sa chance dans le nouveau monde, fondant d'abord une ferme, puis un moulin, puis une entreprise de fabrication de mats pour les navires très prospère qui fut reprise par ses fils(il a eu plusieurs femmes et des tas d'enfants).
Au fil des générations, le trésor et l'histoire familiale se sont dispersés et la plupart des très nombreux descendants de ces nobles ignorent tout de l'histoire pourtant glorieuse de leur famille... (et la devise du Québec c'est : Je me souviens ! hahahahaha !!!)

J'aime bien l'armorial d'origine de ma famille(du moins de ma branche de celle-ci)

<D'azur et trois lys tigés et fleuronnés d'or, et un bras du même mouvant du flanc sénestre et tenant une épée d'argent.> Parfois surmonté d'un heaume ou d'une couronne de marquis pour signifier l'anoblissement au 17eme siècle...

Je suis très fier de ce nom aussi répendu soit-il car j'en sais l'histoire et elle me plait

Je ne connaîs pas l'origine de mon nom de famillle... Et à vrai dire je n'ai pas très envie de la connaître, car il est pas joli comme nom de famille...

Mon prénom pourrai bien être de mes orgines Italiennes, mais ce n'est pas voulu par mes parents... Enfin tant pis !! Et oui je parle avec mes mains !! ^__^ (D'accord je sors me pousser pas !!)

Je ne connais pas non plus l'origine de mon nom de famille, je ne connais même pas sa signification à vrai dire... Je sais seulement qu'il est irlandais Vous m'avez donné envie de faire des recherches

mon nom de famille est d'origine normande à priori ... c'est une déformation d'un prénom, mais je n'en sais pas encore beaucoup ! je fais pas mal de recherches de ce coté là ! je fais quelques recherches généalogiques, pour le moment mon arbre (du coté de mon père) remonte au milieu du 18e siècle, et jai ensuite quelques personnages clairsemés plus anciens.

Moi je n'arrive pas à trouver de quoi me faire remonter dans ma généalogie... Je ne sais pas trop ou chercher en faite :s

pour faire des recherches généalogiques, il y a l'état civil, pour les plus récents. Ensuite, les archives départementales qui conservent les actes de baptème, mariage, décès, ... mais c'est un travail très long !
tu peux aussi trouver des choses sur internet. de plus en plus d'actes sont mis en ligne.

C'est vrai que ça m'a l'air bien long tout ça !! Franchement si j'aurai plus de temps et surtout les moyens de le faire, je pense que je le ferais ! D'un autre côté, je suis arivée a un tel dégout pour la famille qui porte mon nom que...

Erika est d'origne allemend dont le (ehre) veut dire "honneur" et (rik) "roi puissant"

Étant donné que mon père est d'origine norvegienne, je connais la signification de Erika qui signifie "guerrière" pour ce pays mon nom me représente bien étant donner que les vicking habitaient dans ce pays et que les vicking sont de très grand guerrier.

Mais si j'analyse les deux pays, "honneur, roi puissant, guerrière" sa signifie toute en un sens "courage" Telle que je me connaîs, j'ai pas beaucoup de courage. Donc il ne me représente pas aussi bien. Mais je ne le changerais pour rien au monde parce j'aime les significations

Tu sais, je pense que tout le monde a plus de courage qu'il le pense au fond de lui...

oui exactement, fais-toi un peu confiance Érika :calin1

je veux dire que le courage que contient les rois et les guerrier , j'en ai pas autant que eux. j'en ai juste assez pour vivre

Je pense qu'on ne sera jamais si on a autant de courage que les rois et les guerriers !! Tout simplement parce que maintenant nous n'avons plus les mêmes préoccupations !

Les épreuves que devaient surmonter les rois et les guerriers étaient souvent bien horrible. Certains avaient le courage, d'autres non. Certains se sont simplement résigner à accepter un destin cruel alors que d'autres ont eu la force intérieure de triompher ou d'avoir une fin glorieuse...

On ne sait jamais ce qui peut surgir de notre personne lorsque nous sommes poussé vers une épreuve inévitable...

Tu peux ne pas être très courageuse dans la vie de tout les jours, ça ne veut rien dire, je suis convaincu qu'au fond de toi se trouve une petite lionne qui sommeille et n'attend qu'à être réveillé le temps venu

Ne sousestimes jamais ce que l'adrénaline et l'instinct de survie peuvent faire de toi, même si il faut souvent des cas majeurs pour les stimuler. Je connais peu de gens qui seraient réellement incapables de donner leur vie pour une raison qui leur tient à coeur...

Je te souhaite tout de même de ne jamais en arriver là, la vie n'a pas besoins d'être plus horrible

J'ai trouvé ça sur internet. C'est en anglais, mais bon c'est tellement amusant et loufoque ! Et surprenant pour certains

Votre nom n'est pas un accident !

Si cela peut en aider certain a trouver leurs origines : http://www.genealogie.org



C'est supposément l'armoirie de ma famille !

Gabriel Gosselin
Ancêtre des Gosselin d'Amérique

Sur la jeunesse de Gabriel Gosselin (1621-1697), nous savons peu de choses, sinon qu'il vient de Combray, petit hameau de Calvados, en Normandie. Gabriel avait deux frères: Jean (1616-1691) et Gilles (1634-?) ainsi que deux sœurs (1631-1637). Ce fils de Nicolas Gosselin et de Marguerite Dubréal a fort probablement quitté une France où l'avenir ne lui semblait pas assez prometteur, pour venir participer aux assises d'un nouveau pays.
Mais à quel moment Gabriel Gosselin traversa-t-il l'Atlantique?

"L'historien Marcel Trudel nous apprend que Gabriel Gosselin apparaît pour la première fois dans un acte notarié, le 13 février 1651 (1). Lorsque l'on connaît l'impossible navigation hivernale, on peut facilement conclure que Gabriel était au pays en 1650. Cependant, si comme nombre de ses compatriotes, Gabriel s'était engagé pour 36 mois, on peut, sans grand danger de se tromper, présumer qu'il serait arrivé en 1649. De fait, Eléonore de Grandmaison, de qui il est serviteur à l'Île d'Orléans en 1651, lui concède une terre de 4 arpents de front, le 30 novembre 1652. C'est sur celle-ci qu'il élèvera ses douze (12) enfants, issus de ses deux mariages: avec Françoise Lelièvre, en 1653, puis avec Louise Guillot, demi-sœur de Louis Jolliet, en 1677.

Analphabète, Gabriel Gosselin mit vaillamment à profit ses autres qualités. Aidé d'abord de domestiques, puis de ses garçons (il en aura 10); Gabriel possède en 1667, 55 arpents en valeur.

Hommes d'affaires comme pas un, Gabriel a fort probablement exploité ses fermes au maximum pour en tirer le meilleur profit possible. À la terre acquise en 1652, il ne cessera d'ajouter de nouvelles concessions. D'abord de Jacques Gourdeau en 1658, puis 38 arpents de Pierre Gilbert en 1664, 2 arpents de Jacques Cailhaut en 1667, 207 arpents carrés de Vincent Poirier en 1666, 100 arpents de J.B. Peuvret de Mesnu en 1667, de Jacques Bernier en 1674, 2 1/2 arpents des Ursulines en 1675, 2 autres des Hospitalières en 1676 ... Les paroisses de Saint-Pierre et de Saint-Laurent ont comme vaillant paroissien un homme qui n'as pas peur du travail.

Pour accueillir le fruit de ses cultures et ses nombreuses bêtes (20 bêtes à cornes en 1666, 45 en 1681, en plus d'une ânesse et de 80 brebis, sans compter volailles et cochons), il aura une grange de 80 x 21 pieds, deux hangars, une bergerie de 30 x 20 pieds, et des hangars sur les autres fermes.

Ses 90 contrats devant notaire nous démontrent son sens des affaires qui le font passer à coup sûr de "bon domestique" d'Eléonore de Grandmaison à "plus grand propriétaire de l'Île d'Orléans". Non satisfait, il fera l'acquisition dès 1657, d'un terrain de 40 x 20 pieds, sur le quai du cul-de-sac à la basse ville de Québec, sur lequel il bâtira une maison dont il tire profit, Gabriel demeurant toujours sur l'Île. En 1675, il vendit cette dernière à Pierre Duquet, pour 1500 livres. Gabriel désirait en construire une autre beaucoup plus spacieuse, de 37 x 26 x 28 pieds, en maçonnerie, en 1677, rue Sous-le-Fort, à la Place Royale de Québec, tout juste aux côtés de la batterie Royale.
Coût: 3500 livres. Malheureusement, le feu la détruisit en 1682.

Ne reculant devant rien, Gabriel fait appel en 1683 au plus grand architecte de Québec à l'époque, celui qui a travaillé à la basilique de Québec, à la chapelle Notre-Dame-des-Victoires, à l'église Sainte-Anne-de-Beaupré, Claude Baillif, à qui il commande des devis pour une nouvelle maison. Détruite en 1759 par les boulets anglais, lors de la Conquête, une reconstruction abrite aujourd'hui un restaurant, co-propriété de Jacques Gosselin. L'Histoire se répète, puisque Pierre Babin, aubergiste, y avait déjà eu pignon sur rue en 1698...

Encore une fois, Gabriel Gosselin venait de franchir une nouvelle étape. L'habitant d'envergure de l'Île d'Orléans devenait "bourgeois" de la cité de Québec. Il allait, à sa façon, laisser sa marque dans ces deux berceaux de la francophonie Nord-Américaine et du Québec moderne, à savoir: l'Île d'Orléans, terre fertile et grenier de la colonie, et Québec, centre administratif et capitale.

Bon chrétien et miraculé de la Bonne Sainte Anne, Gabriel Gosselin mourut à Québec, dans la maison qu'il habitait depuis quelques années, le 6 juillet 1697 à l'âge de 76 ans. Le lendemain, il était inhumé à Québec. À cette époque, le cimetière de la Côte de la Montagne ne sert plus. Gabriel fut donc porté en terre dans l'un des cimetières adjacents à la basilique Notre-Dame-de-Québec, soit: Saint-Joseph, Sainte-Anne ou Sainte-Famille. C'est d'ailleurs dans le cimetière Saint-Joseph que sa fille Françoise fut portée le 2 août 1674. Y repose-t-il encore? On peut présumer que oui, à moins qu'il n'ait été transféré avec sa fille, sous la crypte de la Basilique de Québec, après une des nombreuses fouilles archéologiques dans ce secteur du Vieux-Québec.

Gabriel a légué de nombreux biens à ses enfants, mais aussi le sens du travail et des affaires. N'exploitent-ils pas à leur tour la maison de la Place Royale dès 1698? Il fut le pilier d'une grande famille grâce à ses 12 enfants et 70 petits-enfants. Son nom n'allait pas s'éteindre de sitôt. Aujourd'hui encore, Jean-Robert et son épouse Marie-Anne occupent une terre que Gabriel légua à Ignace, son aîné.

Source: Jean-François Gosselin
L'Association des familles Gosselin

Pierre Comeau
Ancêtre des Comeau d'Amérique

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Pierre Comeau serait né en France à la fin du 16ième siècle. Au début des années 1650, il aurait épousé Rose Bayol (ou Bayou). Il est probable que Pierre vint en Acadie dans les années qui précédèrent pour y trouver une nouvelle vie. Aucun généalogiste n'a cependant cette certitude.
Le couple aura dix enfants. L'ainé, né peu après le mariage, se prénommera Etienne.

Au recensement de 1671, on dit de Pierre qu'il est tonnelier, 75 ans, époux de Rose Bayol, 9 enfants. Il possédait 22 brebis, 16 bêtes à cornes et avait 6 arpents en valeur.

Au recensement de 1678, Pierre est veuf. Il possède alors 12 bétails, 2 boeufs et 14 arpents en valeur.

Au recensement de 1686, Pierre dit avoir 88 ans. Il a 4 bêtes à corne, 4 cochons, 12 moutons et plus que 6 arpents en valeur.

Les enfants de Pierre et Rose se marièrent et fondèrent un foyer:

Etienne avec Marie Lefebvre en 1671 et plus tard, en 1694, avec Marie Landry;
Pierre, dit l'Esturgeon, avec Jeanne Bourg en 1677;
Jean l'ainé avec Françoise Hébert en 1677 et, plus tard, en 1720 avec Catherine Joseph;
Pierre, dit le Loup-Marin, avec Jeanne Bourgeois en 1689;
Françoise avec Jean Gaudet en 1671;
Marie avec Claude Pitre;
Jean Augustin avec Catherine Babin en 1686;
Marie-Anne avec Etienne Rivet en 1677.



et


Louis et Antoine Fortier
Ancêtre des Fortier d'Amérique

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Deux pionniers de la Nouvelle-France sont les ancêtres de la plupart des Fortier en Amérique du Nord. Il s’agit de Louis Fortier qui s’installa à Lachine et d’Antoine Fortier qui s’implanta à l’Île d’Orléans.
Louis Fortier est le fils de François Fortier et de Françoise Haly. Il est originaire de Bayeux, Normandie et la date de son arrivée au Canada nous est inconnue. Il épousa Madeleine Moison le 26 février 1679. Veuve de Charles Ptolémée, elle lui donna 11 enfants dont 3 garçons.

Ces trois garçons ; Louis, Joseph et Narcisse-Guillaume-François se sont marriés et eurent une descendance nombreuse à Lachine, Pointe-Claire et Montréal. Joseph et Narcisse-Guillaume-François furent tous deux des engagés pour l’ouest entre 1721 et 1728.

Antoine Fortier naquit à Dieppe, du mariage de Noël Fortier et de Marie Golle. Son père était perceur de navire, c’est-à-dire spécialiste dans la perforation des trous dans lesquels se fixent les différentes pièces de la charpente d’un navire.

C’est vers 1663 qu’Antoine Fortier vint en Nouvelle-France, accompagné de son père. Après un séjour de quelques années à Beauport, les Fortier passèrent sur l’Île d’Orléans. Tandis que son père construisait les barques destinées aux pêcheurs, Antoine Fortier se livait à la pêche.Grâce à son expérience à son habilité, il put bientôt devenir maître de barque.


Un acte exhumé des minutes du notaire Rageot nous apprend qu’en 1667 Antoine Fortier passa un accord avec quatre autres pêcheurs. Ceux-ci convenaient de se séparer le profit provenant de la pêche aux loups-marins.

Le 21 novembre 1677, il épousait Marie-Madeleine Cadieu, et s’alliait par ce mariage aux plus grandes familles de la Nouvelle-France. Plusieurs représentants des familles nobles de l’époque lui firent l’honneur d’être témoins à son mariage.

De ce couple, 12 enfants virent le jour dont 10 garçons qui lui assurèrent une nombreuse descendance.